
Dans la chair figée d’un métal vivant,
Se dessinent les contours d’un corps aimant.
Un torse d’or, marqué par le temps,
Raconte des vies en éclats brûlants.
Des creux, des bosses, des cicatrices profondes,
Comme les souvenirs gravés dans le monde.
La lumière y danse, s’y perd, s’y reflète,
Entre l’éphémère et l’éternel en quête.
Fragilité d’une forme imparfaite,
Force d’un cri dans la matière muette.
Un hommage aux âmes, brutes et sincères,
Qui portent en elles l’éclat de la terre.
Comments